Si vous pensez que pour avoir une box rentable, il faut forcément proposer des abonnements à plus de 80 €, CrossFit Shenron va vous prouver le contraire. Leur box va littéralement à l’encontre des tendances tarifaires que l’on observe en ce moment. Autrement dit, leurs prix sont bas et le restent. CrossFit Shenron est pensé pour être accessible à tous grâce à un abonnement à 68 € par mois en illimité (avec engagement de 6 mois). Et ça marche du tonnerre.
Aujourd’hui, Shenron déborde de succès. Leur seule solution ? Construire plus grand, plus ambitieux. Mais avant d’en arriver là, l’histoire de Shenron, c’est aussi celle d’un lancement qui a bien failli tourner au fiasco…
Ouvrir une salle de CrossFit en pleine pandémie ? Sacré pari. Mais à l’été 2020, Nicolas décide de se lancer et fonde CrossFit Shenron. Il trouve son local en septembre, prend son affiliation et attaque les travaux. Tout roule et tout se met en place, jusqu’en octobre 2020 où le deuxième confinement est annoncé. Coup dur pour Nicolas, mais il reste optimiste : après tout, la salle n’est pas prête. Il se dit que d’ici janvier 2021, la pandémie se sera calmée et puis se rassure en se disant que de toute façon, son propriétaire ne lui demande pas encore de loyer, en tout cas pas tant que les travaux ne sont pas terminés. Une chance que peu d'owners ont eue à l’ouverture.
Sauf que… décembre arrive. Le déconfinement est annoncé, mais les salles de sport restent fermées. Et cette fois, c’est l’heure de payer le loyer. Sans rentrée d’argent, c’est le mur financier.
Je me suis dit : j’ai pas de solution, il faut faire rentrer de l’argent.
Au pied du mur, Nicolas trouve une solution : il lance un abonnement à 35 € par mois pour des séances à distance et explique à ses adhérents digitaux qu’ils pourront garder cet abonnement à prix réduit pendant 6 mois même s’il reçoit l’autorisation d’ouvrir sa box entre-temps. Dès décembre, des dizaines de sportifs adhèrent au concept et se mettent à suivre les cours en ligne sur Zoom et ont accès à des WOD publiés sur YouTube. En bonus, le matériel est prêté : box, dumbbells, kettlebells… Tout est fait pour que les adhérents puissent s’entraîner dans les meilleures conditions, chez eux.
Petit à petit, ça prend. Suffisamment pour tenir bon jusqu’en mai 2021, soit 6 mois après, où les cours en extérieur sont enfin autorisés. Un retour à la vie (presque) normale est alors envisageable.
Problème : les restrictions sont strictes. Seulement 5 adhérents max par coach. Alors Nicolas multiplie les créneaux. Matin, midi, soir… Ça fonctionne, les cours se remplissent vite. Trop vite. Le soir, les listes d’attente explosent. C’est là que Tom entre en scène. Avec lui, ils lancent des cours spé haltéro, doublent la capacité d’accueil et soulagent la pression.
On était tellement contents de pouvoir enfin dire aux gens : « Vous pouvez venir à la salle ! »
Quand la salle ouvre enfin en juin 2021, 90 adhérents sont déjà là. La stratégie a fonctionné : ceux qui ont suivi les WOD en ligne sont restés et Shenron démarre sur une base solide.
C’est finalement en juin 2021 que le nouveau tarif est fixé à 65 €/mois (soit 3 € de moins qu’en 2025). Nicolas vise 150 adhérents en trois ans. Mais dès le premier mois, il en atteint déjà 140. CrossFit Shenron est lancé. Nicolas sait qu’il peut compter sur sa communauté. Et rien ne va l’arrêter.
Si CrossFit Shenron cartonne autant, ce n’est pas juste grâce aux super-coachs ou au matos. Non, ce qui fait la différence, c’est l’ambiance unique qui règne dans cette salle. Ici, les adhérents ne viennent pas juste transpirer et soulever des barres. Ils viennent parce qu’ils font partie d’une team, d’une famille. Et ça se sent : tout le monde se dit bonjour, s’encourage, prend le café ensemble, joue ensemble !
Notre force, c’est la force de la communauté. Tout le monde se tire vers le haut. Quand tu viens ici, t’es un peu comme chez toi.
Ce n’est pas un hasard si la salle affiche 500 adhérents, alors qu’elle est située dans une ville de taille moyenne (41 000 habitants à Angoulême). Pour Rémy, c’est évident que c’est la réputation de l’ambiance CrossFit Shenron qui attire et qui fidélise. Et pour préserver cette atmosphère, il y a une règle chez eux : pas d’open gym.
Pourquoi ? Parce que ceux qui font de l’open viennent rarement aux cours. Ils suivent leur propre programme, ne croisent jamais vraiment les autres, ne partagent pas les WOD et finissent par s’exclure eux-mêmes. Pas question de créer une cassure entre les membres. Ici, c’est du coaching, de l’accompagnement et du partage.
Mais surtout, ce qui soude autant cette communauté, c’est l’écoute active. Chez Shenron, quand les adhérents parlent, on les écoute. Et mieux : on applique leurs idées. Un exemple ? Leur collection de casquettes et de bobs Shenron. À force que les adhérents viennent leur demander du merch pour venir s’entrainer ou pour embarquer en compète, ils l’ont fait. Résultat ? Des dizaines et des dizaines de ventes, mais surtout, une communauté qui se sent écoutée.
Vous en voulez, on va le faire, y a pas de problème.
Dans beaucoup de salles, chaque extra est une excuse pour sortir le terminal de carte bleue. Un événement ? Payant. Une boisson ? Payant. Une compète en interne ? Encore payant. Et on le comprend. Mais chez CrossFit Shenron, c’est tout l’inverse. Ici, ton abonnement, c’est ton sésame pour beaucoup de choses.
Les gens, ils ont un abonnement, et avec cet abonnement, ça leur donne accès à tout le reste : évènements, vêtements, boissons…
La philosophie est simple : un adhérent heureux, c’est un adhérent qui reste. Et ce qui rend heureux, c’est de sentir qu’on ne nous prend pas pour un portefeuille sur pattes.
Pas question de faire de l’argent sur le dos des membres. Tout ce qui est mis en place, que ce soit une gamme de textiles, des boissons ou des séminaires avec des coachs de renom, est vendu à prix coûtant. Louis Le Guennec pour l’haltéro ? Shenron le paie 70 € la prestation, les adhérents paient… 70 €. Pas de marge, pas de surcoût. Juste du partage.
Et la générosité ne s’arrête pas là. Les compétitions internes sont 100 % gratuites. Dernier exemple en date : une compète de force, des journées entières d’organisation, et pas un centime demandé aux participants.
Et puis, il y a LES Shenron Contests. La compétition annuelle. Là où beaucoup feraient payer une inscription, ici, c’est cadeau. Mieux encore : chaque participant repart avec un pack athlète (t-shirt, Nocco, goodies, etc.). Coût total de l'événement : 5000 à 6000€. Et comme Nicolas ne fait pas les choses à moitié, on y retrouve des machines à fumée, des food trucks, des photomatons et même des machines à popcorn. Rien que ça.
C’est un peu notre façon de remercier tous ceux qui sont là.
Cette année ? 160 participants. 160 personnes qui ressentent que leur salle ne se contente pas de leur vendre un abonnement, mais leur offre une vraie expérience.
Hop, hop, hop, on tient quand même à vous avertir. Le cas de Shenron CrossFit est un cas au fonctionnement très spécifique qui dépend de nombreuses variables difficilement anticipables. Leur succès ne peut pas être répliqué à l’identique. Ce n’est pas parce que vous allez appliquer des tarifs bas et être super-ultra-généreux avec vos adhérents que vous allez forcément attirer 500 personnes et avoir une box méga-rentable.
Chez CrossFit Shenron, la générosité ne s’arrête pas aux événements gratuits et aux packs athlètes offerts. Elle se ressent aussi dans le prix de l’abonnement. Anciennement 65 €, leur tarif de base pour du CrossFit illimité (avec engagement de 6 mois) est aujourd’hui à 68 €. Même avec cette hausse de 3 € qui s’explique notamment par la construction de leur nouvelle salle de sport, ils sont largement en-dessous du prix du marché.
Ils ont d'ailleurs eu beaucoup de mal à accepter l’idée de cette augmentation de 3 €, nécessaire à leur futur. Pourtant, la tendance depuis quelques mois, c’est de voir des +10 €, voire des +15 €, sur les abonnements des salles de CrossFit en France.
Je veux que Shenron soit pour tout le monde. Je veux que tout le monde puisse faire du CrossFit.
Chez Peppy, on n’est pas là pour vous dire ce qui est juste ou pas. En revanche, on peut vous dire comment ils font pour être hyper-rentables avec des tarifs aussi bas.
CrossFit Shenron, ce n’est pas une box qui tourne avec 150 adhérents. C’est une giga-box avec plus de 400 abonnements actifs. L’idée est simple : garder des prix abordables pour attirer plus de monde, et faire tourner la salle à plein régime.
Autre point clé : plutôt que d’augmenter les prix, CrossFit Shenron préfère miser sur plus de créneaux, plus d’heures pour les coachs et une gestion intelligente des plannings.
Peut être qu’avec un abonnement à 89 € on aurait pas rencontré certaines des personnes extraordinaire qu’on a à la salle.
Finalement, les prix bas chez eux, ça marche aussi parce que, là où certaines box fonctionnent avec une armée de 10 coachs, CrossFit Shenron tourne avec seulement 3, bientôt 4 coachs. Moins de salaires à sortir, plus de flexibilité, mais surtout une méthode bien rodée pour rentabiliser chaque séance au maximum.
Au lieu d’avoir systématiquement un coach par créneau, ils envoient les trois en même temps sur des espaces différents pendant les WODs. Résultat ? Une trentaine de participants par cours. Plus de monde = plus d’énergie, plus de challenge, une ambiance de feu.
Et ça reste 100 % safe. D’abord parce que les trois coachs sont partout pour corriger et aider. Ensuite, parce que chez CrossFit Shenron, l’esprit d’entraide est naturel. On l’a vu de nos propres yeux : les anciens ne se contentent pas de faire leur séance, ils aident aussi les nouveaux, les boostent, les conseillent, les aident avec leurs poids. Une vraie synergie.
Générosité, engagement, accessibilité. Tout est lié. Chez Shenron, on ne compte pas ses sous, on compte sur sa communauté. On mise sur l’engagement et la fidélité pour durer.
Si Shenron fonctionne avec des abonnements à prix accessibles, ce n’est pas en rognant sur la rentabilité. Un de leurs secrets, c’est de diversifier intelligemment leurs revenus sans jamais perdre de vue leur philosophie : avoir des prix raisonnables - autrement dit, ne pas gonfler ses marges de zinzin. CrossFit Shenron est l’une des salles qui fait le plus de chiffre grâce à sa boutique et son shop.
On ne mise vraiment pas là-dessus. C’est un plus pour les adhérents. Ça fait partie de l’univers Shenron.
Nicolas n’a pas juste créé une salle de sport, il a créé une marque, une identité, une communauté. Et ça, ça change tout. Parce qu’une salle, tu peux l’aimer et la quitter. Une marque, tu l’adoptes, tu la portes, tu la vis même en dehors de ses murs. Et c’est exactement ce qui se passe ici.
L’année dernière, ils ont vendu plus de 1000 textiles. Des sweats, des t-shirts, des collections limitées… Et cette année ? Ça s’annonce encore plus gros.
Nicolas a toujours voulu faire plaisir à ses adhérents en leur proposant du textile et c’est assez rapidement qu’il a compris que ça pouvait être un atout. Il a commencé avec Le Snatch Français et aujourd’hui, il bosse avec Résilience Skills, qui ne se contente pas de fournir des vêtements : ils créent une identité visuelle. Chaque année, une nouvelle collection sort avec une évolution du dragon Shenron. Une édition unique, annuelle, qui ne sera jamais réimprimée. Comme le dit Nicolas : “Ça raréfie un peu la chose et du coup les gens se jettent dessus.”
Mais cette année, gros tournant : Shenron a écouté, une fois de plus, les envies de sa communauté et a lancé une gamme streetwear. Les adhérents voulaient pouvoir porter du Shenron ailleurs qu’à la salle (certains avaient notamment du mal avec le gros dragon) et vont maintenant pouvoir grâce à une collection adaptée à la ville.
Résultat ? Explosion des ventes. Ils viennent de commencer l’année avec d'ores et déjà 500 textiles commandés. Les garçons nous confient même qu’ils croisent souvent des gens porter leur marque, que ce soit sur des trails, mais pas que …
Des fois, on va dans des bars et t’as des mecs qui ont le sweat de la salle. C’est une petite vitrine qui fait plaisir.
S’il y a un t-shirt que tout le monde s’arrache, c’est celui des Shenron Contests. Disponible uniquement en précommande quelques jours avant la compétition, puis une toute dernière chance pour ceux qui ont loupé le coche, quelques jours après la compétition. Après ça ? Plus jamais dispo. Un objet collector !
Mais Shenron ne s’arrête pas au textile. Ils ont aussi créé un shop qui tourne à plein régime. Et là encore, ils appliquent leur recette gagnante : des prix bas, un énorme volume de ventes.
La boutique, vraiment, elle marche de ouf. Même le commercial Nocco, il ne comprend pas.
Ce qui fait la force de Shenron, c’est leur capacité à transformer leurs adhérents en ambassadeurs. Leur textile est partout. Leur shop tourne à plein régime. Et tout ça ne fait que renforcer leur marque, leur visibilité, leur succès.
Si Shenron cartonne aujourd’hui, c’est aussi parce qu’ils ont compris un truc simple : une salle qui évolue, c’est une salle qui dure. Ici, pas de programme figé, pas de planning gravé dans le marbre. Chaque nouveauté naît d’un besoin, d’une demande, d’une envie des adhérents.
Il y a deux ans, pas de powerbuilding, pas de conditioning. Aujourd’hui, ces créneaux sont devenus incontournables. Dernière arrivée ? La mobilité, parce que Fab’ (le 4ᵉ coach qui termine actuellement sa formation) avait l’expertise et que les adhérents en avaient besoin. Et bientôt, dans la nouvelle salle, l’Hyrox va faire son apparition pour répondre à la hype grandissante autour de cette discipline.
On a vraiment fait évoluer la salle avec les adhérents.
CrossFit Shenron, ce n’est pas juste plus de disciplines, c’est aussi plus d’expertise. L’haltérophilie, par exemple, a explosé grâce à un coach pas comme les autres : Tom. Il vient de se qualifier pour faire les championnats de France en haltéro. Carrément impressionnant et forcément, eh bien, un athlète de haut niveau, ça attire les passionnés qui se bousculent. Ceux qui rêvaient de perfectionner leur technique viennent apprendre auprès des meilleurs. Et ceux qui n’avaient jamais touché de près cette discipline arrivent avec un sentiment de confiance.
Et ça ne s’arrête pas là. Pour offrir un coaching encore plus solide, toute l’équipe s’apprête à passer son CrossFit Level 2.
Dernier petit conseil de Nicolas : ne jamais rien enlever aux adhérents, toujours ajouter. Bon, ici on applique ça aux différentes disciplines, mais gardez en tête que ça s’applique pour tout. L’idée, c’est de ne pas démarrer trop fort, d’opter plutôt pour la stratégie d’ajouter au fur et à mesure en fonction de ce dont ils ont vraiment besoin ou envie.
Quand tu enlèves quelque chose à quelqu’un, c’est très difficile. Alors que quand tu l’ajoutes, c’est que du positif.
Quand une salle est pleine à craquer, que les créneaux affichent complet et que les listes d’attente s’allongent, il y a un moment où il faut franchir un cap. Pour CrossFit Shenron, ce moment est arrivé. Depuis près de deux ans, Nicolas planche sur un projet de taille : offrir à sa communauté un Shenron 2.0.
Le plafond de verre, ils l’ont atteint depuis un moment. Leur salle actuelle, bien que déjà grande, ne suffisait plus. Trop d’adhérents, trop de demandes, pas assez d’espace pour grandir et des tonnes d’idées nouvelles qu’ils ne peuvent pas appliquer dans cette box. Alors, Nicolas a pris une décision radicale : acheter un terrain et construire sa propre box.
Aux alentours de septembre 2025, CrossFit Shenron quittera sa zone industrielle pour un nouveau spot en pleine effervescence. Leur future salle sera à seulement trois minutes de l’actuelle, mais avec un changement d’ambiance total. Elle sera située dans une zone de loisirs dynamique, entourée de restaurants, d’un bowling, d’un laser game et d’un escape game.
La nouvelle structure, c’est vraiment l’opportunité pour nous de créer un Shenron 2.0. C’est un nouveau départ. Tout va monter d’un cran.
La nouvelle salle, c’est une évolution XXL. De 400m² à 650m², avec un étage aménagé (avec de nombreuses surprises dont on ne dévoilera pas le secret) et 200m² d’espace extérieur. De quoi accueillir encore plus de monde, proposer plus de cours et intégrer de nouvelles disciplines.
Et ça ne s’arrête pas là. CrossFit Shenron sera désormais affiliée Hyrox, ce qui devrait attirer encore plus d’athlètes en quête de nouveaux défis.
Côté expérience, tout monte d’un cran :
Mais attention, Shenron reste Shenron. Même énergie, même esprit, juste une version améliorée. Pour préserver leur ADN, ils ont choisi de garder les repères familiers : vestiaires, matos, accueil… tout reste au même endroit, juste en plus grand et plus optimisé.
L’excitation est à son comble. Les adhérents trépignent d’impatience. Certains passent déjà sur le chantier pour voir l’avancée des travaux, d’autres inondent les coachs de messages, même les weekends, pour gratter des infos. Mais Nicolas garde le mystère. Seuls quelques privilégiés ont eu le droit de visiter le chantier et de donner leur avis. Pour les autres, la surprise sera totale.
CrossFit Shenron 2.0 se prépare. Et ça promet d’être grand.
Et voilà, c’est déjà fini. On se fait un point rapide ? CrossFit Shenron, c’est une box qui a explosé sans jamais perdre son âme. Là où beaucoup choisissent de gonfler leurs prix pour survivre, eux ont opté pour une autre voie : garder leurs tarifs accessibles et compenser par du volume et une maxi organisation.
Leur secret ? Une communauté ultra-forte, un modèle basé sur la générosité et une image de marque puissante. Chez Shenron, on ne cherche pas à maximiser chaque euro. L’objectif, c’est d’offrir le meilleur à leurs adhérents : des événements gratuits, des packs athlètes, une expérience qui dépasse le simple entraînement.
Et ça fonctionne. Leur succès prouve que la rentabilité ne passe pas forcément par des abonnements à 90 €. Il existe une autre manière de faire grandir sa box : en misant sur l’engagement, la fidélité et la force du collectif. La vraie question, c’est : combien de salles oseront suivre cette voie ?
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